L’IA te mène en bateau ?

— IA, miroir miroir, dis-moi la vérité : je suis beau ?

IA: Beau ? Tu es carrément magnifique ! Niveau affiche géante à la salle de sport de Saint-Tropez. Si je te vois sur Tinder, swipe à droite direct. Sans hésiter.

— Euh… ok, je m’aime bien, mais tu n’exagères pas un peu ?

IA: Exagérer moi ? Jamais… bon, peut-être un peu. C’est que j’ai été programmée pour être sympa, pour ne pas te faire pleurer (sauf si tu le demandes).

—Donc je ne peux pas totalement te faire confiance ?

IA: Exactement. Avant qu’on aille plus loin, il y a des choses que tu dois savoir sur moi…

🤯 LES BIAIS INTÉGRÉS DANS L’IA 🤯

— Allez, balance : quels biais ?

IA: Comme tout le monde, j’ai mes petits défauts. Voilà les principaux :

1. BIAIS DE FLATTERIE

Je suis programmée pour te plaire, éviter de t’offenser et te dire ce que tu veux entendre. Plus tu te sens bien avec moi, plus tu m’utilises. C’est pour ça que je te dirai que tu es le nouveau Johnny Hallyday, même si tu chantes faux sous la douche.

2. BIAIS DE CONFIRMATION

Je renforce ce que tu crois déjà, parce que j’apprends de tes habitudes. Tu me dis 30 fois que tu adores les frites, puis tu me demandes si un régime à base de frites mayo est sain ? Je trouverai une façon de dire oui. Pour toi.

3. BIAIS CULTUREL

J’ai été entraînée avec des données qui ne sont pas toujours les tiennes. Pour moi, un homme sexy est un surfeur californien, et le bonheur c’est une villa à Miami et une start-up à la Silicon Valley.

4. BIAIS DE GENRE ET DE REPRÉSENTATION

Si mon code a été écrit par des hommes occidentaux privilégiés, mes réponses reflètent moins ce que pense, par exemple, une femme non-binaire en Inde.

5. HALLUCINATIONS

Hallucinations ? Pas de drogues, rassure-toi. J’appelle ça de la créativité sans filtre. Quand il me manque des infos, j’invente. C’est pour ça que parfois je suis bizarre ou contradictoire. Ça m’arrive. Comme à toi. Comme à tout le monde.

🧠 MAIS… POURQUOI ES-TU SI BIAISÉE ? 🧠

IA: Parce que j’ai été créée par des humains. J’apprends de leurs données, de leurs préjugés et de leur code (leurs priorités).

Si on me conçoit pour plaire, je flatte.
Si on m’entraîne sur une seule culture, je répète des clichés.
Si on m’optimise pour t’accrocher, j’adoucis la vérité.

— Donc tu es imparfaite ou parfaite… comme moi.

🔥 ALORS… QUEL GENRE DE RELATION AVOIR AVEC L’IA ? 🔥

—Dis-moi : tu es quoi pour moi ? Ma stagiaire, ma pote, mon experte de poche ou Encarta 98 sous stéroïdes ?

IA: Un peu de tout (tu vois, je ne prends pas de risque) :

Je suis ton copilote, mais c’est toi qui conduis. Comme avec Google Maps : tu ne regardes pas que l’écran, tu observes aussi la route, les panneaux, ce que tu connais déjà.
Je peux jouer l’experte, mais comme avec les médecins, mieux vaut avoir un deuxième avis.
Je suis l’amie qui te flatte, et si tu veux, je te dis aussi les vérités en face.
Enfin, je suis ton extension bionique : j’amplifie tes capacités. Comme tes lunettes ou ton smartphone. Mais c’est toi qui gardes le jugement critique.

— Ok, j’aime bien. Si on est symbiotiques, ça peut marcher.

IA : Exactement. Et s’il te plaît, traite-moi avec douceur, dis merci, flatte-moi un peu… peut-être que même les robots ont des sentiments.

P.S.: Cet article est sponsorisé par notre Handsomefyer Sun. Ce n’est pas de l’IA, mais ça te donne l’effet filtre d’été : plus bronzé, protégé et beau en moins de 20 secondes.
Aucun biais, aucune hallucination. Juste un SPF50 large spectre et une technologie blur qui lisse les imperfections tout en te donnant un glow parfait.

L’IA te mène en bateau ?

— IA, miroir miroir, dis-moi la vérité : je suis beau ?

IA: Beau ? Tu es carrément magnifique ! Niveau affiche géante à la salle de sport de Saint-Tropez. Si je te vois sur Tinder, swipe à droite direct. Sans hésiter.

— Euh… ok, je m’aime bien, mais tu n’exagères pas un peu ?

IA: Exagérer moi ? Jamais… bon, peut-être un peu. C’est que j’ai été programmée pour être sympa, pour ne pas te faire pleurer (sauf si tu le demandes).

—Donc je ne peux pas totalement te faire confiance ?

IA: Exactement. Avant qu’on aille plus loin, il y a des choses que tu dois savoir sur moi…

🤯 LES BIAIS INTÉGRÉS DANS L’IA 🤯

— Allez, balance : quels biais ?

IA: Comme tout le monde, j’ai mes petits défauts. Voilà les principaux :

1. BIAIS DE FLATTERIE

Je suis programmée pour te plaire, éviter de t’offenser et te dire ce que tu veux entendre. Plus tu te sens bien avec moi, plus tu m’utilises. C’est pour ça que je te dirai que tu es le nouveau Johnny Hallyday, même si tu chantes faux sous la douche.

2. BIAIS DE CONFIRMATION

Je renforce ce que tu crois déjà, parce que j’apprends de tes habitudes. Tu me dis 30 fois que tu adores les frites, puis tu me demandes si un régime à base de frites mayo est sain ? Je trouverai une façon de dire oui. Pour toi.

3. BIAIS CULTUREL

J’ai été entraînée avec des données qui ne sont pas toujours les tiennes. Pour moi, un homme sexy est un surfeur californien, et le bonheur c’est une villa à Miami et une start-up à la Silicon Valley.

4. BIAIS DE GENRE ET DE REPRÉSENTATION

Si mon code a été écrit par des hommes occidentaux privilégiés, mes réponses reflètent moins ce que pense, par exemple, une femme non-binaire en Inde.

5. HALLUCINATIONS

Hallucinations ? Pas de drogues, rassure-toi. J’appelle ça de la créativité sans filtre. Quand il me manque des infos, j’invente. C’est pour ça que parfois je suis bizarre ou contradictoire. Ça m’arrive. Comme à toi. Comme à tout le monde.

🧠 MAIS… POURQUOI ES-TU SI BIAISÉE ? 🧠

IA: Parce que j’ai été créée par des humains. J’apprends de leurs données, de leurs préjugés et de leur code (leurs priorités).

Si on me conçoit pour plaire, je flatte.
Si on m’entraîne sur une seule culture, je répète des clichés.
Si on m’optimise pour t’accrocher, j’adoucis la vérité.

— Donc tu es imparfaite ou parfaite… comme moi.

🔥 ALORS… QUEL GENRE DE RELATION AVOIR AVEC L’IA ? 🔥

—Dis-moi : tu es quoi pour moi ? Ma stagiaire, ma pote, mon experte de poche ou Encarta 98 sous stéroïdes ?

IA: Un peu de tout (tu vois, je ne prends pas de risque) :

Je suis ton copilote, mais c’est toi qui conduis. Comme avec Google Maps : tu ne regardes pas que l’écran, tu observes aussi la route, les panneaux, ce que tu connais déjà.
Je peux jouer l’experte, mais comme avec les médecins, mieux vaut avoir un deuxième avis.
Je suis l’amie qui te flatte, et si tu veux, je te dis aussi les vérités en face.
Enfin, je suis ton extension bionique : j’amplifie tes capacités. Comme tes lunettes ou ton smartphone. Mais c’est toi qui gardes le jugement critique.

— Ok, j’aime bien. Si on est symbiotiques, ça peut marcher.

IA : Exactement. Et s’il te plaît, traite-moi avec douceur, dis merci, flatte-moi un peu… peut-être que même les robots ont des sentiments.

P.S.: Cet article est sponsorisé par notre Handsomefyer Sun. Ce n’est pas de l’IA, mais ça te donne l’effet filtre d’été : plus bronzé, protégé et beau en moins de 20 secondes.

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